• Conférence "Henri Moissan (1852-1907)"

    Henri Moissan (1852-1907), pharmacien, premier Français prix Nobel de chimie

    Moissan 1

    Moissan 2

    Conférence des AD77, le mardi 3 juin à 20h30 à Meaux.

    Projection commentée du film

    « Henri Moissan, pharmacien, premier Français prix Nobel de chimie » réalisé par Daniel Bour et Jean Trouchaud.

    Voilà plus de 100 ans que ce grand savant honora son pays par ses travaux qui furent solennellement reconnus par la communauté scientifique internationale et couronnés par l’Académie Royale des Sciences Suédoise. En plus de son exploit à isoler pour la première fois le fluor, il parvint, grâce aux perfectionnements qu’il apporta à ses fours à arc électrique, à obtenir des températures jusqu’à environ 3500°C. On ne compte plus les composés minéraux (dont la carbure de silicium qui reçut le nom de Moissanite) et les métaux que ce père de l’électrométallurgie fabriqua ou purifia. À quoi il faut ajouter ses expériences pour synthétiser le diamant pour lesquelles il imagina les moyens pour reproduire en laboratoire les hautes températures et les hautes pressions nécessaires. Moissan est resté toute sa vie très attaché à Meaux, ville où il avait fait ses premières études et où il se maria. De nombreux souvenirs de lui y sont encore présents comme sa magnifique collection de tableaux conservée au musée Bossuet et ce sans parler du lycée, le seul en France à porter son nom.

    Le premier film à lui être consacré, commandité entre autres par la Fondation Internationale pour la Maison de la Chimie et le CNRS, vient d’être réalisé par deux meldois, Daniel Bour cinéaste et Jean Trouchaud membre du comité Moissan 2006.

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  • La quotidienne France 5

    France5Je m'appelle Sarah Jaouen, je suis journaliste pour France 5 dans l'émission "La quotidienne".

    Nous travaillons actuellement sur un dossier consacré à la généalogie.

    Nous sommes à la recherche d'un témoin pour notre plateau d'émission, pour venir nous raconter son histoire. Nous préférons vraiment un particulier, qui n'ait pas de rapport direct avec la généalogie. Simplement une personne, qui a une histoire à nous raconter sur son arbre généalogique.

    N'hésitez pas à me recontacter pour plus d'informations.

    Bien à vous

    Sarah Jaouen staquot@jara-co.com

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  • Relevés B.M.S. du CGBrie

    Avec votre login et votre mot de passe (les mêmes que Geneabank), une fois que votre adhésion 2014 est effective et enregistrée, vous avez la possibilité de consulter toute la base de données du CGBrie, progressivement, au fur et à mesure de sa mise en ligne sur notre site. Accédez à la base.

    L’adhésion simple vous donne un capital de points annuel de 100 points, l’adhésion couple un capital de points annuel de 150 points.

    Si vous manquez de points, vous aurez la possibilité de vous en procurer au prix de 10 euros les 100 points, cela met le coût de l’acte à 10 centimes.

    Nous espérons que l’accès gratuit ou presque…fera de nombreux heureux parmi les adhérents du CGBrie qui habitent loin de nos locaux de Lagny ou de Meaux et qui nous réclament cette facilité depuis de longues années.

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  • Marcelin Berthelot et Charles Tllier : un savant et un inventeur au service de l'industrie

    Conférence le 11 février 2014 à 20h30 à la Médiathèque de MeauxConference

    Les années 1860 constituent un tournant majeur dans l’histoire des établissements Menier. Le transfert de Noisiel à Saint-Denis des secteurs pharmaceutiques et chimiques en est le premier acte. La réalisation de cette usine, qui se situe dans un contexte marqué par la montée en puissance de leur principal concurrent, la Pharmacie Centrale de France, est confiée à l’architecte Jules Saulnier. Elle se double du recrutement d’un personnel de direction expérimenté où apparaissent les noms de Paul-Jean Rigollot et Jean-Charles Aimé Berthé. Emile Justin Menier fait également appel à Marcelin Berthelot « pour ordonner les préparations et conseiller les exécutants » (Marcel Delépine).

    Cette collaboration porte aussi sur l’exploration de voies nouvelles, un travail de recherche dont le cahier de notes tenu par le professeur de chimie organique à l’Ecole Supérieure de Pharmacie de Paris a conservé la trace. Le projet, dont l’unité de production dionysienne se voulait le point d’appui et l’outil, est abandonné en 1867, avec la cession du secteur pharmaceutique à la Pharmacie Centrale de France.

    À Noisiel, où le chocolat règne désormais en maître, Emile Justin Menier s’assure également la collaboration d’auxiliaires de haut niveau, au rang desquels les ingénieurs Louis Dominique Girard et Charles Tellier. Élévation du rendement du moteur hydraulique, rationalisation de l’espace usinier et équipement frigorifique sont à l’ordre du jour dans ce qui devient alors le cœur productif
    d’un empire agro-industriel s’étendant du Nicaragua aux rives de la Tamise.

    Conf

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Manifestations à venir